Lampe à décors érotique

 Ier - II ème s. ap. J.C. 

Musée d'Arles antique

 

Ref. : 21 LAH

 

Nombreuses lampes à décors érotique ont été diffusées dans tout l'empire romain. Les plus célèbres sont celles découvertes à Pompéi. 

  

dimensions (cm) : 11,2 x 7,9 x 2,9

 

16 euros


Lampe à décors érotique

I er - II ème s. ap. .C.

Musée de Lyon Fourvière

 

Ref. : 41 LAH

 

Scène alliant la luxure et la gladiature. Une femme (prostituée) tenant un couteau dans sa main droite et un bouclier main gauche au dessus d'un homme qui semble demander sa missio (sa grâce) en levant le doigt.

  

Dimensions (cm) :  L.7.8 x l. 4.6 x H. 2.4

16 euros


Lampe phallique ailée

1er s. ap. J.C.

 Ref. : 93 LAH

  

Dans l’Antiquité l’organe viril masculin, emblème de fertilité méritant d’être célébré, était l’objet d’un culte et recevait des honneurs divins. Cela s’explique notamment par le fait que la représentation phallique à but cultuel était détachée de toute connotation érotique et dissociée du corps de l’homme. 

Chez les Romains, le phallus divinisé est appelé Mutinus ou  Tutunus. Aussi on « se prosternait dévotement devant lui, on lui adressait des prières » afin de se protéger « contre les charmes, les malheurs et les regards funestes de l’envie ». De même, des amulettes ithyphalliques (figurant un pénis en érection) étaient pendues au cou des enfants telle une amulette prophylactique (pour se prémunir des maladies).

 Dimensions (cm) :15 x 13 x 5

 

 

20 euros